Works 100% Illustrator

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Pour explorer, expérimenter et surtout pour l’éclate:), quoi de mieux que de pousser au maximum les outils fournis par un de mes logiciels fétiches : Illustrator. Pour ces réalisations, tout y est passé (enfin presque, j’ai encore du mal avec l’outil filet) : dégradés de formes, tracé de décalage, effets arrondis, contour progressif, lueurs interne et externe, ombres portées, 3D, masques d’écrêtage, tracés transparents, l’outil ciseaux, le panneau aspect (extrêmement pratique), panneaux dégradé et transparent (incontournables)... Bon, je ne vais tous les citer, car il y en a une flopée.

Plusieurs heures de taf, mais au final, satisfait du résultat :)

Pourquoi exceller ?

En dehors de la raison évidente, que tout graphiste passionné(e) se doit de maîtriser le logiciel, la seconde est que cela sert son métier.

D'abord, au niveau de la communauté. Je ne sais pas pour vous, mais lorsque je visite les « amazing », « awesome », « impressive » (et autres superlatifs anglophones) créas réalisées – je vous épargne les références citées maintes fois pour trouver l'inspiration – par mes pairs et grosses pointures du milieu, cela me stimule à reproduire leur style « Whoua ».

D'une manière évidente, c'est parce j'apprécie l'effort de l'auteur, qui a instillé tout son savoir-faire, pour produire cette performance. C'est motivant et nous tire vers le haut. Donc toujours faire mieux, se renouveler, se remettre en question, se performer, sont les principes qui me guident.

Puis au niveau professionnel. Les nombreuses heures investies dans cet effort de veille et d'apprentissage servent à monter en compétence ou d'en acquérir d'autres. Pousser l'usage du logiciel, permet d'acquérir de l'aisance. Cette facilité vous octroie le bénéfice de produire un meilleur et rapide travail. Bien entendu, c'est un entraînement quotidien. Je ne me lancerai pas dans la discussion de « Qu'est-ce qui fait un bon graphiste ? » (tendre la bonne oreille, poser les bonnes questions, justifier ses réponses...). Là n'est pas le sujet.

Et finalement, il me semble, tout cela est bénéfique pour son travail. Donc training, training, training.

Une question d'observation

Il est un point non négligeable à tenir compte : l'observation. Pour arriver un résultat probant, il est nécessaire de déceler finement, dans le travail, « ce qui va » et « ce qui ne va pas ». Procéder de cette manière, contribue à la crédibilité dans le rendu. Dès lors, aiguiser l'observation doit être un travail quotidien du graphiste.

Technos utilisées
Adobe Illustrator

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